Pratique Plastique 
Projet trimestriel spécialité arts plastiques 
De septembre à octobre, avec une camarade de la classe d’art, nous avons produit une maquette qui s’inscrit dans le lien entre arts plastique et architecture, le paysage, le design d’espace et d’objet puisque que la consigne était d’intégrer des écrans dans un projet d’exposition. C’est-à-dire que nous avons créé une maquette en carton, que nous avons peinte et améliorer avec de objets de récup etc. Afin d’ajouter des Smartphones, en guise d’écran, une substitution de la réalité en d’autre thermes. Avec c’est trois écrans, nous avons présentaient une installation vidéo sur l’évolution ou la non-évolution du statut, de la rébellion de la place de la femme dans la société. Le premier écrans étant des extraits de dessin animés, tous issue des studios Disney, qui font subtilement encré dans les valeurs et les croyances des enfants, que les femmes se révoltent face aux autre personnages de l’histoire qui les répriment. Le second écran est des  extraits de films pour un publique adulte, qui montre la réalité de la place de la femme. Des extraits de scène de viol, de femme battue et d’oppression verbale. Enfin, le troisième écran sont des extraits de discours, de court métrage fait pas des adolescents, des manifestations : la rébellion face aux injustices de la société, ainsi qu’une discours percutant de Simone Veil, qui fût l’élément déclencheur de l’autorisation de l’avortement en France en 1975.
Ma camarade et moi avons choisis ce thème pour créer ce projet de maquette d’exposition dans un musée car nos avis sur la place de la femme aujourd’hui sont les mêmes, c’est un sujet qui nous semblaient important et intéressant. Je pense néanmoins que pour une maquette nous aurions pu créer des objets plus précis et plus parlant ou agrandit la voute dans la pièce, afin d’emprisonner davantage le spectateur devant les écrans, et donc agrandir sa potentiel idée de responsabilité ou d’implication sur le sujet de sexisme.
Dans un second temps, de novembre à décembre, j’ai créé de toute pièce une boite à jouer. Le thème choisi étant panorama de mon époque, j’ai décidé de créer un objet défonçant les stéréotypes de notre société actuel, tout en prolongeant les problèmes liés au sexisme de mon précédant projet. La boîte à jouer est un montage d’une centaine de lego pour former une vraie boîte, des playmobiles peint pour représenter des métiers pour hommes viriles stéréotypés, ainsi qu’une Barbie découpé et modifié pour créer une chimère de la femme parfaite aux yeux de l’ancien patriarcat. Le projet n’existe pas sans le spectateur car c’est lui qui peut choisir entre les deux compartiments de la boîte. Ironique que dans le compartiment fille, les filles ne peuvent jouer qu’à la maman. Pour la modification de la barbie je me suis inspiré de l’artiste Jason Freeny, qui modifie une multitude de jouet eet d’objet.
La Barbie possède une tête de robot car, d’un point de vue sexiste : elle n’a pas besoin de parler, mais juste d’écouter son époux, le chef de famille. Elle possède constamment des ustensiles de cuisine puisque c’est sa tâche la plus importante, nourrir sa famille. Elle est enceinte et des bouteilles de lait sont à la place de sa poitrine puisque sont utilité première est d’être au service de la progéniture de son époux et porte une culotte de chasteté puisqu’elle ne peut se reproduire qu’avec son époux, quand lui il le décide et son plaisir a elle importe peu.
Les garçons, eux ont plus de choix peuvent jouer avec différents personnages, aux multiples métiers et aventures. Cependant, ce sont des métiers qui sont eux aussi des stéréotypes du métier qu’un homme considérait comme viril et accompli doit avoir : avoir de l’argent, savoir se servir de ses mains, être intelligent…
Le projet de cette à boîte à jouer est d’inciter le spectateur à participer à l’œuvre et a le questionner sur sa propre place dans la société, quelque soit son sexe et dans quel compartiment il va chercher un jouet. Je suis globalement satisfaite du résultat et je pense que le but du projet est accomplie, j’aurai voulu avoir plus de temps pour créer plus de playmobiles et de métier pour accentuer l’impact sur le spectateur en ce qui concerne l’écart entre les choix de l’homme et la femme, mais aussi améliorer la Barbie pour la rendre plus évidente, même aux yeux d’une publique plus jeune. 
Enfin, depuis janvier, j’ai commencé la construction d’un faux rayon de magasin, qui est mon projet abouti, j’ai voulu investir les champs des production, de consommation et du genre, travailler sur le vêtement, le corps transformés par les injonctions sociales, les stéréotypes, l’image du sexe féminin et masculin dans la culture et dans l’art.
 Je me suis inspiré de l’exposition The Store de Claes Oldenburg pour son œuvre sur la vitrine d’exposition de pâtisseries en papier mâché qui semble repoussante.
Mon faux rayon de magasin est une armoire que j’ai modifiée à l’aide carton peint, de scotch, de colle pour le rendre en rayon de magasin compartimenté en 4 parties. Le premier compartiment, la 1ere étagère donc, est la partie pharmaceutique. Une multitude de boîte de médicament Photoshop puis assemblée, des seringues alimentaires en guise de seringues médicale et des pilules réutilisés. Ce sont de faux médicaments qui sont des médicaments contre la mocheté, pour avoir du charisme etc. Un compartiment dénonçant l’égocentrisme et la nécessité de l’apparence dans notre société. Le second compartiment, est la partie alimentation. J’ai récupéré des jouets de légumes et de fruits en plastique pour enfants et les ai peints dans des couleurs improbables, tel que du jaune pour un concombre du bleu pour une banane… là aussi pour dénoncer la nécessité de l’apparence dans les OGM, mais surtout la folie de la société de modifier nos aliments pour accentuer la surconsommation. L’étagère du dessous est également dans la partie nutrition, j’ai récupéré des grandes boîtes de conserves ( pour rappeler ce système d’empaquetage a à la made in china) et collé des étiquettes de produit connu comme le Nutella, où j’ai inscrit la liste des produits mauvais pour la santé contenue dans le produit, l’inverse que les société vendant ce genre de produit font, vendre les mérite, sans énoncer les problèmes liés à leur produits. Le dernier compartiment est la partie vestimentaire, des vêtements ne dévoilant pas le corps de la femme par peur de la nudité du corps mais moulant pour montrer ses formes. Les hommes peuvent porter des vêtements larges, mais le panneau des vestiaires des hommes indique que les bijoux, jupe et vêtements moulant ne sont pas autorisé chez les hommes, par ne pas qu’il soit féminin, mais il est également éradiqué dans les vestiaires des femmes, pour ne pas être trop provocant.
Mon projet est en cours de construction mais je suis contente pour l’instant de créer un projet aussi important, long et qui ai du sens. Certes, c’est un projet qui parle de sexisme, mais également des problèmes dans notre société lié à l surconsommation et aux cases dans lesquelles ont obliges les gens, quelque soit leur genre, leur âge ou leur classes, d’entrer dans des cases que la société à créer au fils des siècles. J’inclurai donc un une photo du rayon lorsqu’il sera finit et j’ajouterai les différentes étapes de la production et les éventuel modifications en court de route.
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