LLAGUT ou LLAUT: (aussi appelé llaud)
Petits bateaux de pêche côtière gréé avec voile latine, typique de la côte des Baléares.
Petits bateaux de pêche côtière gréé avec voile latine, typique de la côte des Baléares.
Le llaüts ont diminué de façon significative le paysage côtier. A partir de l’imposition des moteurs comme un moyen de propulsion, le llaguts pêcheurs a été condamné à une présence symbolique. Parallèlement à cela, un secteur économique, ou llaguters ou llaüters, ses artisans, ont été disparaissant progressivement de la mémoire collective.
Le projet propose la référence à ces navires, partie de l’identité et la mémoire historique traditionnel de l’île, inspiré par leurs formes, matières et méthodes de construction et pour récupérer pour le présent un patrimoine immatériel que devrait être favorisée par sa revitalisation à partir des processus et positions contemporains.
Ce projet part de la conception de l’architecture comme un processus global. Un processus qui implique les débuts aussi que bénéficiaires finaux de l’immeuble euxmême. Le développement durable doit être
considéré non seulement comme un concept lié à l’aspect purement écologique, mais il doit être étroitement associée à les procédures constructifs et leurs agents impliqués. Ainsi, le projet vise à engager et de récupérer la mémoire locale à travers les artisans et les techniques et des matériaux qui ont été perdues par le développement technologique et le poids écrasant du progrès.
Le projet se configure comme des llauts échoués sur la terre, deux bateaux suspendus dans le temps. Le logement social est ainsi ensemblé aux racines de la mémoire collective. Par conséquent, on propose la réalisation de ces navires avec les artisans locaux, à la forme des techniques de construction des llaut
traditionnels.
Des nouveaux modèles de familles ou cohabitents ne rentrent pas dans la structure rigide qui généralement marqué la conception de l’habitat traditionnel, donc, le projet propose la division de l’univers privé des cohabitants, afin qu’ils soient entièrement autonomes, et que le séjour en véritable lieu de relation.
Le schéma se base sur la concentration des zones humides et les chambres sur le mur nord, libérant la baie sud, qui deviens ainsi un espace de liberté, un champ sans restriction que l’utilisateur/s peuvent définient en fonction de leurs besoins. Un espace sans a priori, sans instructions, qui peut être colonisé de différentes manières.
Le projet propose la référence à ces navires, partie de l’identité et la mémoire historique traditionnel de l’île, inspiré par leurs formes, matières et méthodes de construction et pour récupérer pour le présent un patrimoine immatériel que devrait être favorisée par sa revitalisation à partir des processus et positions contemporains.
Ce projet part de la conception de l’architecture comme un processus global. Un processus qui implique les débuts aussi que bénéficiaires finaux de l’immeuble euxmême. Le développement durable doit être
considéré non seulement comme un concept lié à l’aspect purement écologique, mais il doit être étroitement associée à les procédures constructifs et leurs agents impliqués. Ainsi, le projet vise à engager et de récupérer la mémoire locale à travers les artisans et les techniques et des matériaux qui ont été perdues par le développement technologique et le poids écrasant du progrès.
Le projet se configure comme des llauts échoués sur la terre, deux bateaux suspendus dans le temps. Le logement social est ainsi ensemblé aux racines de la mémoire collective. Par conséquent, on propose la réalisation de ces navires avec les artisans locaux, à la forme des techniques de construction des llaut
traditionnels.
Des nouveaux modèles de familles ou cohabitents ne rentrent pas dans la structure rigide qui généralement marqué la conception de l’habitat traditionnel, donc, le projet propose la division de l’univers privé des cohabitants, afin qu’ils soient entièrement autonomes, et que le séjour en véritable lieu de relation.
Le schéma se base sur la concentration des zones humides et les chambres sur le mur nord, libérant la baie sud, qui deviens ainsi un espace de liberté, un champ sans restriction que l’utilisateur/s peuvent définient en fonction de leurs besoins. Un espace sans a priori, sans instructions, qui peut être colonisé de différentes manières.
